dimanche 17 février 2013

The Hardworking Prince

Une petite chanson pour se mettre dans l'ambiance (et pour ceux qui ont reconnu la référence du titre):


DONC. J'ai fait beaucoup de corrections cette semaine. J'ai relu les annotations des profs sur mes documents et j'ai décidé de vous faire part de ma démarche dans ses moindres détails. Pour cela, je me suis armée de mon meilleur ami, j'ai nommé Robert.

1. Existentiel.
---> Commentaire du prof: "ce mot fait référence à la philosophie de l'existentialisme [...]"
---> Ce que Robert en dit: "EXISTENTIEL, IELLE adj 1. Relatif à l'existence en tant que réalité vécue." (p.977)
---> Existentiel reste.

2. Approfondie.
---> Commentaire du prof: "Est-ce qu'une blessure peut être approfondie?" Bonne question.
--->Ce que Robert en dit: "APPROFONDIR v. 1. Rendre plus profond, creuser plus profondément. La plaie s'est approfondie." (p.124) Eh bien oui.

Merci Robert, ce sera tout pour l'instant.

3. PAGE 7 :"Elle se creuse jusqu’à atteindre une profondeur abyssale et la douleur, subtile et légère au début, s’intensifie péniblement, cette même douleur qui teste sans cesse nos limites, qui chemine et se loge en nous, cette douleur qui jamais ne se fait oublié…"
  ---> Commentaire du prof: "Elle [la douleur] est constante?"

---> Bien sûr. Sinon je n'aurais pas marqué "qui jamais ne se fait oublier."

4. PAGE 17: "Nous refusons d’être cette blessure et il nous faut trouver un remède [...]"

---> Commentaire du prof: "Chercher? Partir en quête"

---> Non. Le personnage n'en à rien à faire de chercher, ce qui importe c'est de trouver. C'est le résultat qui compte dans ce cas-ci puisque l'objectif est d'arrêter de souffrir. Elle n'a aucun intérêt à faire durer le processus. J'ai dit ici exactement ce que je voulais dire.

5. PAGE 21: "Quelques notes d’espoir qui se profilent à la vue d’une meurtrissure pareille à la nôtre."

---> Commentaire du prof: "Profiler implique la vue, les notes se font entendre."

---> Bien vu. Dans mon texte original, j'ai écrit "quelques notes d'espoir qui résonnent", mais on m'a fait remarqué que "résonner" n'était pas le mot approprié puisque trop fort. La résonance fait certes appel au sens de l'ouïe, mais évoque quelque chose de puissant, de bruyant, une vibration forte. Je ne retrouvais pas dans l'expression la douceur que je voulais exprimer, c'est pour ça que je l'ai changer pour "se profiler" qui est plus subtile. Je vais cependant y réfléchir de nouveau.

6. PAGE 30: "Pourquoi as-tu dit ces mots-là à moi?"

---> Commentaire du prof: "Pourquoi à cet instant précis? Il y a les mots, mais aussi le contexte [...]" 

---> Très certainement. Le contexte sera donné par l'image (patience, le découpage complet s'en vient)
 
7. CHAPITRE 7:  Le personnage reprend sa vie et tombe sur un cœur gravé des lettres suivantes : Thank you.

---> Commentaire du prof: "Pourquoi en anglais?"

---> Parce que:


L'objet existe.


Ensuite, j'ai corrigé les petites fautes grammaticales qui ont échappé à ma vigilance et j'ai "updaté" mon scénario pour qu'il corresponde à mon découpage graphique final. Je vais vous épargner et ne pas l'ajouter à ce blog-ci.

Sinon, bonne nouvelle: j'ai fini de réaménager la fameuse scène qui me posait problème et elle est MA-GNI-FI-QUE! Le propre de mon découpage graphique est maintenant terminé et je vais pouvoir le scanner demain. voici la dernière page comme preuve:



Je pensais me trouver une belle citation pour mettre en exergue au début de mon livre... Comme une clef qui permet d'ouvrir un coffre... ou ici de mieux comprendre peut-être?

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